MUSIQUEdu FILM - Il Ă©tait une fois dans l'ouest - Ennio MORRICONE - YouTube Musique inoubliable du film de Sergio LÉONE " Il Ă©tait une fois dans l'Ouest" avec la voix sublime d'Edda DELL'ORSO. Filmde lĂ©gende, chef d’Ɠuvre du cinĂ©ma de genre western, « Il Ă©tait une fois dans l’Ouest » (titre original : C’era una volta il West) est un western italo-amĂ©ricain de Sergio Leone rĂ©alisĂ© en 1968 et sorti en salle en Italie la mĂȘme annĂ©e et en 1969 dans le reste du monde.. L’action du film se passe lors de la conquĂȘte de l’Ouest amĂ©ricain et Ă©voque la rivalitĂ© des En1969, Ă  qui doit-on la musique emblĂ©matique du film "Il Ă©tait une fois dans l'Ouest" ? En 1969, Ă  qui doit-on la musique emblĂ©matique du film "Il Ă©tait une fois dans l'Ouest" ? Culture. LePlusIntello. PostĂ© le : 6 Novembre Ă  17:23. 11 376 vues. 0. boumediane. PostĂ© le : 8 Novembre Ă  17:23 . Ennio Morricone. ⇒ Si vous ĂȘtes ici c'est que le sujet vous Vay Tiền Nhanh. regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Il Ă©tait une fois dans l'Ouest est un film de Sergio Leone sorti en 1968. Ce film est considĂ©rĂ© comme l'un des chefs-d'Ɠuvre du genre western spaghetti qui a permis un renouveau du western. Synopsis[] Alors qu'il prĂ©pare une fĂȘte pour l'arrivĂ©e de sa femme qu'il a Ă©pousĂ©e un mois plus tĂŽt Ă  La Nouvelle-OrlĂ©ans, Bet McBain est tuĂ© avec ses trois enfants par Frank et ses complices. Jill McBain hĂ©rite alors des terres de son mari, convoitĂ©es par Morton, le commanditaire du meurtre. Mais les soupçons se portent sur un hors-la-loi, le Cheyenne
 Ce dernier, ainsi qu'Harmonica, un Ă©tranger qui semble avoir quelque chose Ă  rĂ©gler avec Frank, partiront rĂ©gler leurs comptes. Il Ă©tait une fois dans l'Ouest est un film dont l'action se passe lors de la conquĂȘte de l'ouest amĂ©ricain. Il tourne autour de la construction du chemin de fer et met en scĂšne divers personnages reprĂ©sentatifs des westerns classiques pour mieux les dĂ©tourner. Sergio Leone en fait une Ɠuvre imposante et personnelle, ce qui serait la raison de son Ă©chec commercial aux contrairement Ă  l'Europe qui lui a fait un triomphe. Claudia Cardinale hĂ©rite d'un rĂŽle de tenanciĂšre au grand cƓur, Jason Robards celui de l'aventurier sans scrupule qui trouvera la rĂ©demption, Henry Fonda la crapule embauchĂ©e par le boss du chemin de fer pour hĂąter sa construction et Charles Bronson dans le rĂŽle du vengeur silencieux au passĂ© trouble. Distribution[] Charles Bronson VF Claude Bertrand l'homme Ă  l'harmonica Henry Fonda VF Raymond Loyer Frank Claudia Cardinale VF MichĂšle Bardollet Jill McBain Jason Robards VF RenĂ© Arrieu Manuel Gutierrez dit Cheyenne Frank Wolff VF Henri Poirier Brett McBain Lionel Stander VF GĂ©rard Darrieu le barman Keenan Wynn VF Louis Arbessier le shĂ©rif de Flagstone Gabriele Ferzetti VF Jean-Henri Chambois Morton patron du chemin de fer Paolo Stoppa VF Jean Clarieux Sam Jack Elam VF Pierre Collet Snaky membre du gang de Frank Woody Strode Stony membre du gang de Frank Al Mulloch Knuckles membre du gang de Frank Enzo Santaniello Timmy McBain l'enfant assassinĂ© par Frank MarilĂč Carteny Maureen McBain Marco Zuanelli Wobbles Fiche technique[] Titre Il Ă©tait une fois dans l'Ouest Titre original C'era una volta il West Titre anglais Once Upon a Time in the West RĂ©alisation Sergio Leone ScĂ©nario Dario Argento, Bernardo Bertolucci, Sergio Donati, Sergio Leone Photographie Tonino Delli Colli Musique Ennio Morricone Production Fulvio Morsella Distribution Pays d'origine Italie et États-Unis DurĂ©e 165 minutes Film interdit aux moins de 13 ans Ă  sa sortie en France, sans interdiction de nos jours. Dates de sortie Italie 21 dĂ©cembre 1968 France 27 aoĂ»t 1969 Autour du film[] Ce film, le premier volet du triptyque amĂ©ricain Il Ă©tait une fois
 », permet Ă  Leone de revisiter le mythe de l’Ouest amĂ©ricain et de lui rendre une vĂ©ritĂ© altĂ©rĂ©e par les conventions du cinĂ©ma amĂ©ricain au nom d’un plus grand souci de rĂ©alisme. Leone s’est toujours Ă©tonnĂ©, entre autres reproches qu’il adressait aux westerns classiques, qu’on ne montre pas, par exemple, la rĂ©alitĂ© de l’impact d’une balle qui faisait un trou Ă©norme dans le corps de la victime et la projetait Ă  plusieurs mĂštres en arriĂšre. Ou encore, qu’on attĂ©nue la violence extrĂȘme de cette Ă©poque qui voyait pourtant un tueur exhiber les oreilles coupĂ©es de ses ennemis pour imposer le respect ! Le passage entre les deux Ă©poques est d’ailleurs parfaitement symbolisĂ© par la construction du train qui relie non seulement deux espaces l'Est et l'Ouest, mais aussi deux temps, celui des Pionniers du Far West qui s’efface peu Ă  peu devant celui de la Civilisation moderne. L’un des intĂ©rĂȘts du scĂ©nario, Ă©crit, entre autres, par Bertolucci et Argento, est d’en montrer les rĂ©percussions sur les personnages eux-mĂȘmes qui n’ont d’autre choix que de disparaĂźtre ou de s’adapter. Trois d’entre eux ne s’intĂšgrent pas et sont appelĂ©s Ă  s’effacer. C’est d’abord Franck, hors-la-loi, chef de bande et rebelle Ă  toute lĂ©galitĂ©, qui reprĂ©sente une Ă©poque rĂ©volue car, dĂ©sormais, la Loi se gĂ©nĂ©ralise. Le bandit gĂ©nĂ©reux, Cheyenne, dont le romantisme n’a plus sa place dans une sociĂ©tĂ© devenue mercantile. C’est enfin Harmonica dont le mode de vie fondĂ© sur le sens de la justice et le goĂ»t pour la solitude ne peut s’accommoder d’un monde de plus en plus organisĂ© et collectif. On songe, Ă  son propos, au beau mouvement de camera qui, par un travelling circulaire, donne Ă  voir, en un plan de plus en plus gĂ©nĂ©ral, le chantier du chemin de fer, puis les dizaines d’ouvriers au travail et le personnage de Harmonica qui s’y fond comme s’il disparaissait en tant qu’individu, comme s’il s’agissait de la fin de l’individu. Jill, la prostituĂ©e interprĂ©tĂ©e par Claudia Cardinale, prĂȘte Ă  tout pour survivre, est la seule Ă  rĂ©ussir ce passage entre l’ancien et le nouveau monde, la prostitution Ă©tant ici montrĂ©e comme Ă©ternelle. La sĂ©quence finale, qui la montre donnant de l’eau aux ouvriers, signifie sans doute la fidĂ©litĂ© Ă  ses origines , car elle choisit les ouvriers exploitĂ©s et humiliĂ©s comme elle en mĂȘme temps que son adaptabilitĂ©, les ouvriers construisant l’ avenir. Le propos de Leone est transparent et se veut virile se transforme ainsi ainsi une AmĂ©rique fondĂ©e sur le matriarcat. En effet ’à l’époque de la rĂ©alisation du film le Women Liberation » connaissait son apogĂ©e aux États-Unis. Il faut remarquer que c’est dans un cercle final, l’arĂšne de la vie, que Leone rĂ©unit et enferme ses personnages essentiels et exprime le moment de vĂ©ritĂ© du film qui se conclut, de façon la plus classique, par le duel inhĂ©rent Ă  tout western. Les thĂšmes du film et c’est une constante chez Leone, sont par ailleurs magnifiĂ©s par une mise en scĂšne savante et toujours spectaculaire illustrĂ©e d’un accompagnement musical expressif. On reverra avec un grand plaisir la sĂ©quence initiale, devenue mythique, des trois tueurs qui attendent le train et Harmonica avec ses gros plans et trĂšs gros plans sur des regards ou des dĂ©tails inattendus, craquement des doigts, mouches emprisonnĂ©es dans le canon du colt, gouttes d’eau sur le chapeau, roue de l’éolienne qui grince, et exaspĂ©rants qui immobilisent le temps avant de le dilater et de faire sourdre l’accablement et l’ennui. Le film multiplie les savants cadrages et installe dans l’espace les personnages d’une façon souvent saisissante frĂ©quentes plongĂ©es ou contre plongĂ©es, camĂ©ra placĂ©e sous un angle insolite allongeant, par exemple, les silhouettes ou remplissant l’écran d’yeux prĂ©sentĂ©s en trĂšs gros plans. Les combats sont filmĂ©s en deux temps comme autant de ballets d’abord, une lente montĂ©e de l’attente qui accroĂźt la tension avant que l’exaspĂ©ration des nerfs n’explose dans les coups de feu. L’accompagnement musical, lui aussi trĂšs cĂ©lĂšbre de Morricone souligne et accentue les effets, de sorte que la théùtralisation de l’image et la musique trĂšs expressive font nĂ©cessairement penser Ă  un grand opĂ©ra baroque. La musique et l'image procĂšdent en effet l’une de l’autre, se nourrissent l’une de l’autre. Il suffit d’évoquer la terrible sĂ©quence des deux frĂšres, l’aĂźnĂ© juchĂ© sur les Ă©paules de son cadet jouant de l’harmonica, dont toute la force provient prĂ©cisĂ©ment de cette alliance intime entre ce qui est montrĂ© au travers d’une image saisissante et ce qui est entendu dans une partition musicale qui joue, de façon insupportable, sur les nerfs par son lent crescendo lancinant de notes d’harmonica qui finit par Ă©clater dans une envolĂ©e sonore lourdement appuyĂ©e par les cuivres. Ce film devenu culte qui insiste sur le passage entre deux Ă©poques et dont la tonalitĂ© de dĂ©senchantement se prolongera dans Il Ă©tait une fois la RĂ©volution » annonce, par le double thĂšme du duo et de la dĂ©sillusion, ce qui sera le chef-d’Ɠuvre de Leone Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique ». Les trois films, sans ĂȘtre des suites, sont toutefois Ă  voir dans l’ordre chronologique. Sergio Leone, qui avait dĂ©jĂ  essayĂ© d'engager — sans succĂšs — Charles Bronson dans les films Pour une poignĂ©e de dollars et Le Bon, la Brute et le Truand, obtint enfin son accord pour interprĂ©ter Harmonica. Cet indien obnubilĂ© par son dĂ©sir de venger son frĂšre assassinĂ© par Frank, l'impitoyable tueur jouĂ© avec conviction par Henry Fonda. Leone tenait absolument Ă  avoir Fonda pour le rĂŽle de Frank, contre-emploi des rĂŽles de braves types honnĂȘtes qui firent sa renommĂ©e. Au tout dĂ©but du tournage, Ă  l'arrivĂ©e de Fonda, Leone, le voyant arriver avec des lentilles de couleur et une barbe, voulut immĂ©diatement le remplacer. Mais aprĂšs avoir Ă©tĂ© maquillĂ© et habillĂ©, celui-ci convainquit le rĂ©alisateur sans dire un seul mot. Pour la scĂšne du dĂ©but avec les trois tueurs, Leone dĂ©sirait, en forme de clin d'Ɠil, les faire jouer par les trois protagonistes du Bon, la brute et le truand Lee Van Cleef, Eli Wallach et Clint Eastwood. Mais Eastwood, dont la notoriĂ©tĂ© commençait Ă  grandir, refusa. L'un de ces gredins est jouĂ© par Jack Elam, second couteau dont le strabisme sert admirablement cette scĂšne. L'acteur noir qui apparait dans cette scĂšne est lui Woody Strode, devenu cĂ©lĂšbre dans le monde du western pour avoir jouĂ© le Sergent noir de John Ford. Le dernier larron, Al Mullock est Ă©galement une tĂȘte connue puisqu'on le voit en tant que chasseur de primes manchot dans Le Bon, la Brute et le Truand. [1] La musique du film a Ă©tĂ© composĂ©e et dirigĂ©e par Ennio Morricone, complice de tous les instants de Sergio Leone. Selon certaines interviews du compositeur, Leone lui aurait fait refaire le travail vingt fois avant de se dĂ©clarer satisfait. La musique Ă©tait jouĂ©e sur le plateau durant le tournage afin de mieux imprĂ©gner les acteurs. La bande originale resta trĂšs longtemps en tĂȘte des hit-parades. Elle est conçue autour de quatre thĂšmes pour les quatre personnages principaux Jill, Harmonica, Frank et Cheyenne. C'est le premier film d'une trilogie qui comprend ensuite Il Ă©tait une fois la rĂ©volution et Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique. Le film fait suite au succĂšs du Bon, la Brute et le Truand, des producteurs amĂ©ricains commandent ce deuxiĂšme volet. AprĂšs Le Bon, la Brute et le Truand, Leone ne voulait plus refaire de western et avait commencĂ© Ă  prĂ©parer le tournage d' Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique. C'est aux États-Unis, oĂč il voulait commencer Ă  produire, qu'on lui a suggĂ©rĂ© de faire un autre western avant. C'est alors qu'il eut l'idĂ©e de faire la triloge Il Ă©tait une fois.... C'est Bernardo Bertolucci qui a proposĂ© Ă  Leone de centrer l'histoire du film sur un personnage fĂ©minin. Dans ce film, Claudia Cardinale et Paolo Stoppa font la plus longue randonnĂ©e de buggy de l'histoire du cinĂ©ma. Elle commence en Espagne et passe par Monument Valley en Arizona. Elle se termine Ă  la demeure des McBain, dont les sĂ©quences ont Ă©tĂ© tournĂ©es Ă  Almeria, en Espagne. La demeure des McBain Ă©tait le restant du dĂ©cor d'un village mĂ©diĂ©val construit pour le film Falstaff d'Orson Welles en 1965. Leone l'a rachetĂ© puis restaurĂ©. L'actrice qui fait la femme indienne qui s'enfuit de la gare en sĂ©quence d'ouverture est en rĂ©alitĂ© d'origine hawaienne. Il s'agit de la femme de Woody Strode. Les scĂšnes intĂ©rieures de l'Ă©tablissement de Lionel Stander, situĂ© dans Monument Valley, a Ă©tĂ© tournĂ© Ă  Rome aux studios Cinecitta. Lorsque les hommes de Cheyenne y pĂ©nĂštrent, on aperçoit un nuage de poussiĂšre rouge. Cette poussiĂšre a Ă©tĂ© importĂ©e de Monument Valley afin de donner plus de rĂ©alitĂ©s Ă  la scĂšne. Jason Robards est arrivĂ© complĂštement ivre le premier jour du tournage et Sergio Leone a menacĂ© de le mettre Ă  la porte s'il recommençait. Par la suite, il s'est bien comportĂ© et n'a plus fait de problĂšmes sauf le jour de l'annonce de l'assassinat de Robert Kennedy. Il obligea alors Leone Ă  arrĂȘter le tournage pour le reste de la journĂ©e. Al Mulloch, qui joue l'un des trois truands du dĂ©but celui qui se craque les doigts, s'est suicidĂ© pendant le tournage en sautant par la fenĂȘtre de son hĂŽtel, habillĂ© du mĂȘme costume qu'il portait dans le film. Le scĂ©nariste Mickey Knox et le directeur de production Claudio Mancini, qui Ă©taient assis dans une des chambres de l'hĂŽtel, l'ont vu passer de leur fenĂȘtre. La premiĂšre rĂ©action de Sergio Leone a Ă©tĂ© d'exiger de ravoir le costume de scĂšne, ce qui a choquĂ© certains membres de l'Ă©quipe de tournage. Le tournage s'est dĂ©roulĂ© d'avril Ă  juillet 1968. Le film a Ă©tĂ© tournĂ© Ă  Monument Valley en Arizona, dans la rĂ©gion de Moab en Utah ainsi qu'Ă  La Calahorra et Ă  Tabernas en Andalousie. RĂ©fĂ©rences[] ↑ Ce dernier se suicida d'ailleurs pendant le tournage du film en sautant par la fĂȘnetre de la chambre de son hĂŽtel Ă  Guadix en Espagne. fr/en [ 296 669 475 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidĂ©osEntrepriseSĂ©lectionsPanierBonjour!CrĂ©er un compteSĂ©lectionsNous contacterSĂ©lectionsPartagez des images Alamy avec votre Ă©quipe et vos clientsCrĂ©er une sĂ©lection â€șEntrepriseTrouvez le contenu adaptĂ© pour votre marchĂ©. 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Suite Ă  une brouille avec le rĂ©alisateur, Clint a refusĂ© et Sergio a abandonnĂ© l’ Fonda s’est fait tirer l’oreilleHenry Fonda n’était pas enthousiaste Ă  l’idĂ©e de jouer le mĂ©chant glacial qui massacre une famille dĂšs la premiĂšre scĂšne. Il a fallu l’intervention son ami pour le convaincre qu’il ne fallait pas laisser passer l’occasion. L’acteur a essayĂ© de porter des lentilles pour cacher ses lĂ©gendaires yeux bleus mais Leone l’a obligĂ© Ă  les l’influence de John FordSi une partie du film est tournĂ©e en Espagne, Sergio Leone a tenu Ă  filmer Ă  aux Etats-Unis. Il tenait Ă  rendre hommage au maĂźtre du western amĂ©ricain . Il connaissait parfaitement le dĂ©cor sans l’avoir jamais visitĂ© grĂące Ă  des films comme 1939. 5/Le film a coĂ»tĂ© une fortuneLe dĂ©cor de la ville en construction dans laquelle dĂ©barque Claudia Cardinale a coĂ»tĂ© dollars soit davantage que le budget total de 1964, son premier film que Sergio Leone signa Ă  l’époque sous le pseudonyme Robert rapports entre Leone et Morricone furent difficilesSergio Leone et son compositeur ont eu du mal Ă  obtenir la partition lĂ©gendaire du film. Le rĂ©alisateur aurait fait refaire sa musique une vingtaine de fois Ă  Morricone avant de dĂ©clarer satisfait. Il la faisait jouer sur le plateau afin que les comĂ©diens puissent s’en imprĂ©gner pendant le tournage.

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